Depuis 2014, je propose aux Bisontins et Grands Bisontins de contribuer aux réflexions du conseil municipal de Besançon et du conseil communautaire du Grand Besançon.
J’ai tenu à saluer, lors du dernier conseil municipal, le succès populaire du Bes.AC Basket, lors de ses deux matches au palais des sports.
7000 personnes en 2 soirées, c’est exceptionnel.
Cela montre tout d’abord la dynamique du club, bravo aux dirigeants et aux bénévoles, qu’il y a une attente de basketball à Besançon et enfin plus généralement qu’il y a une attente de spectacle qu’il soit sportif ou culturel.
Nous savons que le club est à l’étroit au gymnase des Montboucons, et les conditions empêchent son développement.
Mais élargissons cette réflexion aux infrastructures sportives de grande capacité à Besançon.
Le Palais des Sports ne nous permet plus d’accueillir certains événements de très hauts niveaux car les cahiers des charges imposent aujourd’hui des jauges minimales de 6 000 places.
Ce qui amène, à mon grand regret, à ce que les grands événements sportifs ou les grands concerts s’organisent non plus à Besançon mais à Dijon ou à l’Axone de Montbéliard.
Nous devons porter la création d’un équipement multisport et culturel d’envergure, d’intérêt communautaire, mais aussi départemental et régional.
Cela me paraît essentiel pour le sport, pour la culture, pour l’attractivité du Grand Besançon.
Je ne comprends pas les sorties médiatiques de la Maire de Besançon sur les Galeries Lafayette, qui rajoutent de l’incertitude à l’incertitude, et de l’inquiétude à l’inquiétude des salariés.
Nous sommes face à une procédure de sauvegarde, cela signifie que l’entreprise rencontre des difficultés certes, mais qu’elle n’est pas en cessation de paiement. C’est une procédure qui permet de sauver l’entreprise, l’emploi des salariés et d’assurer l’épurement des dettes.
Ne condamnons pas les Galeries Lafayette !
On ne sauvera pas les emplois en rachetant les murs comme le propose la maire de Besançon ou en insultant son patron. Soyons sérieux !
On sauvera les Galeries Lafayette si on ramène des clients au centre-ville, si on facilite le commerce, si on installe de la proximité avec les commerçants, si on rend le centre-ville plus attractif, si on multiplie nos animations et nos actions.
J’invite les Bisontines et Bisontins à aller faire leurs achats au centre-ville, à se rendre aux Galeries Lafayette. Vous y serez bien reçus, par des salariés compétents et agréables.
Comme je m’y étais engagé, je mets en place des permanences de proximité dans les mairies des communes de la circonscription.
J’ai à coeur d’entretenir un dialogue direct avec les habitants, les associations, les entreprises et les élus. La proximité ce n’est pas seulement être présent lors des campagnes électorales.
Je reçois sur rendez-vous toutes les personnes qui souhaitent me rencontrer et échanger sur une difficulté personnelle, un texte de loi débattu à l’Assemblée nationale, un projet…
Pour prendre rendez-vous :
laurent.croizier@assemblee-nationale.fr
0980814480
Je suis bien évidemment disponible en dehors de ces créneaux pour une rencontre à ma permanence parlementaire, dans vos locaux ou tout simplement chez vous.
Horrifié en apprenant le décès tragique d’une enseignante, poignardée par un élève de 16 ans à Saint-Jean-de-Luz. Pensées émues pour sa famille, ses collègues, les élèves et parents d’élèves de cet établissement.
Le ministre de de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires, Christophe Béchu, était en déplacement dans le Doubs pour aborder la transition écologique de nos territoires.
L’occasion d’échanger avec les élus locaux sur les moyens mis en place par l’État pour les accompagner.
Le « fonds vert », enveloppe inédite de 2 milliards d’euros par an pendant trois ans, voulue par le gouvernement, va permettre aux collectivités territoriales de financer des investissements locaux tournés vers la transition écologique et l’amélioration du cadre de vie.
Déployé il y a seulement quelques semaines, il connait déjà un vif succès avec un nombre de demandes important, démontrant ainsi l’engagement de nos communes et des autres collectivités face à cet enjeu.
La réserve communale de sécurité civile permet à tout habitant qui le souhaite de s’engager au service de l’intérêt général en aidant les agents municipaux, à titre bénévole et occasionnel, en cas de situation de catastrophe ou de crise (Incendie, inondation, etc.).
Une belle initiative de participation citoyenne, qui offre la possibilité de s’impliquer dans la vie publique et pour la solidarité communale.
J’adresse mes félicitations aux habitants qui se sont déjà portés volontaires pour l’intégrer.
C’est la démonstration de l’intérêt des Français pour l’engagement bénévole. En France, un quart de nos concitoyens sont bénévoles dans une association, les 16-24 ans et les plus de 65 ans étant ceux qui s’engagent le plus.
Chaque année, on compte un peu plus de 40 000 nouveaux ingénieurs. C’est loin d’être suffisant pour répondre aux besoins de transformation de notre société.
Les ingénieurs, les techniciens, les artisans, les ouvriers sont les faiseurs de nos grandes transitions, de la réindustrialisation, d’une économie décarbonée, des futures grandes innovations.
L’enseignement professionnel, l’enseignement supérieur sont des enjeux majeurs.
J’ai rencontré, lundi matin, Laurent Champaney, Président de la Conférence des Grandes Écoles et Hugues Brunet, délégué général, dans les locaux du campus des Arts & Métiers à Paris.
Engagée sur de nombreux sujets, cette association à vocation à offrir aux étudiants les meilleures conditions d’apprentissage et d’acquisition des compétences nécessaires à la vie professionnelle.
La Conférence des Grandes Écoles regroupe plus de 220 Grandes écoles françaises, parmi lesquelles l’ENSMM SupMicrotech dont nous sommes si fiers à Besançon.
L’occasion d’échanger sur les enjeux de l’enseignement supérieur et de l’alternance et la féminisation des métiers scientifiques et de l’industrie.
Merci aux étudiants présents pour ce moment d’échanges qui ont présenté leurs différents parcours et ont exprimé leur vision de l’enseignement supérieur.
Depuis 2014, je propose aux Bisontins et Grands Bisontins de contribuer aux réflexions du conseil municipal de Besançon et du conseil communautaire du Grand Besançon.
Si vous souhaitez apporter une analyse ou formuler une proposition sur l’un des dossiers, n’hésitez pas à me contacter et vous inscrire à la lettre d’information de mon journal.
Voici l’ordre du jour du prochain conseil municipal de Besançon :
Pour la première fois dans notre histoire, deux députés, l’un de La France Insoumise, l’autre du Rassemblement National, ont été exclus de l’Assemblée nationale en raison de leurs comportements et de l’outrance de leurs propos.
Je condamne fermement le climat de violence installé par La France Insoumise à l’Assemblée nationale, qui est encore monté d’un cran dans l’ignominie ces derniers jours.
Chaque séance marque une escalade dans l’hystérisation des débats, et dans le déshonneur de ce parti politique.
La mise en scène d’un député LFI, en écharpe devant l’Assemblée nationale, foulant du pied la tête d’un ministre est une honte pour notre République. L’insulte proférée par l’un de leurs députés à l’encontre du ministre du Travail, le qualifiant d’« assassin » est indigne et scandaleuse.
Ces actes ont été condamnés unanimement par tous les groupes politiques sauf… celui de La France Insoumise. C’est honteux!
Le conflit permanent, l’invective, l’outrance discréditent notre institution. L’Assemblée nationale n’est pas une ZAD, l’Assemblée nationale n’est pas un cirque. C’est le cœur de la démocratie française.
On ne peut pas insulter un Ministre d’assassin simplement parce qu’on ne partage pas ses idées ! Ce n’est pas ça la démocratie. La démocratie, ce n’est pas la loi du plus violent ou du plus vulgaire ! Le débat démocratique appelle à la responsabilité, à la dignité et au respect.
Jamais je ne banaliserai les idées des partis populistes extrémistes. L’extrémisme de gauche comme de droite, s’est toujours illustré par la violence, l’outrance et le mépris des règles démocratiques.
Ces partis politiques sont et seront toujours infréquentables !
Le taux d’emploi des seniors m’apparait être au cœur de la réforme des retraites.
Lors de l’examen en séance du projet, j’ai à nouveau soutenu mon amendement visant à compléter l’index senior, insuffisamment ambitieux, par un système de bonus-malus.
Le taux d’emploi des seniors en France est inférieur de 4,5 points par rapport à la moyenne européenne et de 16 points par rapport à l’Allemagne.
Un senior a plus de difficultés pour retrouver du travail.
Il faut changer de paradigme.
Nous ne pouvons continuer, dans nos entreprises, à nous priver de l’expérience des seniors, de la transmission des compétences et des savoirs entre les générations.
J’ai appelé mes collègues députés à une prise de conscience sociétale, à la co-construction d’un pacte social avec les entreprises et les partenaires sociaux.
Augmenter de 10 points le taux d’emploi des seniors d’ici à 2032 améliorerait le produit intérieur brut de 48 milliards d’euros.
La question de l’emploi des seniors est bien au cœur de l’équilibre sociétal et de l’équilibre budgétaire de la réforme des retraites.
Je regrette que seuls les députés démocrates aient soutenu cet amendement.
Visite du centre de tri du courrier de La Poste, situé rue Gorges Clémenceau à Besançon, et échanges avec le délégué territorial pour le Doubs du groupe, M. Jean-François Courtoy, sur la qualité du service postal rendu aux habitants.
Suite au questionnaire sur l’activité de La Poste dans les communes, que j’ai adressé à tous les maires de la circonscription, j’ai relayé les attentes et les craintes des habitants des communes auprès du délégué territorial de La Poste, comme sur le devenir des bureaux de poste de Quingey et de Pouilley-les-Vignes.
Les horaires sont inadaptés aux besoins des usagers.
Nombre d’entre eux m’ont signalé la réduction des horaires d’ouverture et les difficultés d’accéder aux bureaux de postes pour les actifs.
Pour beaucoup, ce service est « de plus en plus réservé aux inactifs et retraités !!!! » (sic).
Concernant les difficultés de recrutement, et notamment pour le remplacement des agents en congés, j’ai proposé au délégué territorial d’organiser un atelier de recrutement.
Je suis très attaché à l’empreinte territoriale du service postal et reste attentif à ce que les habitants de nos communes bénéficient d’un véritable accès à ce service public essentiel.
Les étudiants en situation de précarité – qu’ils soient boursiers ou non -, bénéficient actuellement dans les restaurants universitaires du repas à 1 euro. C’est 3,30€ pour les autres.
Nous avions ce matin une occasion historique, celle d’inscrire dans la loi le principe d’une tarification sociale des repas des étudiants en situation de précarité. J’ai plaidé dans l’hémicycle pour ce principe. Comment rester inactif quand 56% des étudiants avouent ne pas manger à leur faim.
Je suis toutefois défavorable au principe de l’universalité proposé par le parti socialiste qui souhaitait étendre cette tarification à 1 euro à tous les étudiants, sans aucune condition. A l’égalité qui propose la même aide pour tous, j’ai toujours préféré la notion d’équité, qui offre l’aide la plus juste, à ceux qui en ont besoin.
D’autre part, figer le tarif à 1 euro, c’est méconnaître la chaîne de valeur. Inscrire « 1 euro » aura-t-il encore du sens dans 2 ans, 5 ans, 10 ans ? La loi n’a pas vocation à souffrir du temps.
La commission des Affaires culturelles et de l’Éducation avait pourtant construit un projet de texte de loi qui aurait pu faire l’unanimité.
Je regrette le jusqu’au-boutisme de la rapporteure et les invectives, tristement habituelles, du groupe LFI qui ne nous ont pas permis d’arriver à un terrain d’entente.
Nous avions pourtant l’occasion historique d’inscrire dans la loi le principe d’une tarification sociale des repas des étudiants les plus fragiles. C’est une occasion manquée. Je plaiderai pour que ce principe puisse s’inscrire dans un prochain texte législatif.
En commission des Affaires culturelles et de l’Éducation, je suis intervenu pour évoquer l’importance de l’enseignement de la culture scientifique.
Je suis convaincu que la culture et la démarche scientique participent à la formation de citoyens autonomes, éclairés et libres. C’est la raison pour laquelle je suis favorable à plus de sciences et de mathématiques dans l’enseignement.
En apprenant à ne pas se fier à ce que l’on voit ou à ce que l’on entend, mais à vérifier les hypothèses, la démarche scientifique construit, ni plus ni moins, que les outils de la démocratie et de l’indépendance face aux croyances.
“Si l’esprit d’un homme s’égare, faites-lui étudier les mathématiques car dans les démonstrations, pour peu qu’il s’écarte, il sera obligé de recommencer.”
Samedi avait lieu un atelier citoyen animé par des bénévoles et des associations de Planoise, pour travailler avec les habitants du quartier aux solutions en faveur de la sécurité et de la tranquillité publique.
Merci aux habitants présents, aux associations, au conseil citoyen de Planoise pour leur implication. Merci également à la maison de quartier de Planoise pour l’accueil dans ses locaux, et aux représentants des bailleurs sociaux et de la préfecture pour leur participation.
J’étais hier en réunion, par visio-conférence, avec le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, M. Gérald Darmanin, en présence du préfet du Doubs, M. Jean-François Colombet, et de la maire de Besançon, Mme Anne Vignot.
Il s’agissait d’aborder la création d’un nouveau commissariat à Besançon, en plein cœur du quartier Planoise. C’est une demande que j’avais faite au ministre le 15 novembre dernier.
Je me réjouis de cette première réunion commune avec la maire de Besançon sur cette proposition. J’appelais à un travail commun depuis longtemps. La mobilisation, l’unité et la responsabilité sont les conditions d’une action efficace pour lutter contre l’insécurité et en finir avec le trafic de drogues à Planoise.
La création d’un second commissariat à Besançon renforcerait le plan d’action contre la criminalité et la délinquance, rassurerait les habitants qui en ont tant besoin et améliorerait leur qualité́ de vie et leur sécurité au quotidien.
Ce commissariat offrirait une présence policière permanente à Planoise, de jour comme de nuit, réduirait les délais d’intervention dans tous les quartiers de l’ouest bisontin et étendrait les plages horaires d’ouverture pour l’accueil des habitants et recueillir les dépôts de plainte.
Conformément à la demande du ministre, une vigilance particulière, durant l’étude de faisabilité, sera accordée pour s’assurer que la présence de ce commissariat privilégie l’action de terrain.
Le directeur de cabinet du ministre a fermement insisté sur la nécessité que la police nationale et municipale travaillent en complémentarité. J’ai proposé que ce commissariat fasse l’objet d’une expérimentation nationale de coopération renforcée, entre la police nationale, sous l’autorité du ministre, et la police municipale, sous l’autorité de la maire de Besançon.
J’ai également réitéré ma demande d’installer les caméras de vidéoprotection manquantes à Planoise et aux sorties de ville, ce qui relève de la compétence de Mme la maire.
Je remercie le ministre de l’Intérieur pour son écoute et pour l’intérêt qu’il porte à la sécurité des Bisontins et aux difficultés que rencontrent nos concitoyens de Planoise.
La sécurité́ et le bien-être des habitants est une priorité́ de mon mandat de député. Je reste pleinement mobilisé pour donner les moyens à nos forces de l’ordre de combattre la criminalité et lutter contre le trafic de drogues à Planoise.
L’association se mobilise pour la restauration de la fontaine de Léri peinte par l’Artiste dans la commune de Chassagne-Saint-Denis. Le projet devrait aboutir à l’automne 2023 mais le financement du projet n’est pas clos.
Pour obtenir le budget nécessaire à la réalisation des travaux (environ 22 000 €), l’association a lancé une opération de mécénat auprès de ses adhérents et du public.
Je vous invite à prendre connaissance de cette opération de sauvegarde du patrimoine local.
Avec 61 collègues parlementaires, nous sommes intervenus auprès du Ministre de l’intérieur et des Outre-Mer, Gérald Darmanin, pour lui demander, dans le nouveau système de retraite, de prévoir une bonification destinée aux sapeurs-pompiers volontaires.
Cette bonification se traduirait par trois trimestres au titre de dix ans d’engagement et serait complétée par un trimestre tous les cinq ans.
Cette réforme doit prendre en compte la situation de ces femmes et de ces hommes qui concèdent une partie de leur temps au profit des autres.
Leur engagement est indispensable au bon fonctionnement de notre système de secours et d’incendie.
Depuis la mort de Mahsa Amini, le peuple iranien se soulève face à l’État islamique d’Iran.
J’exprime ma profonde solidarité envers ces femmes et ces hommes persécutés qui ont l’immense courage de s’opposer à cette violente répression pour défendre leurs droits fondamentaux.
L’assemblée Nationale a mis en place un système de parrainage afin d’afficher son soutien plein et entier au peuple iranien.
J’ai souhaité apporter mon parrainage à Mirzaei Hojjat, jeune homme détenu pour avoir défendu sa liberté et j’appelle à sa libération !
Des habitants, ainsi que la Maire de Quingey, Mme Sarah Faivre, m’ont alerté sur la dégradation du service rendu à la population par le bureau de poste situé à Quingey.
Le constat est que les horaires d’ouverture du bureau sont peu à peu réduits et ne correspondent plus aux besoins de ceux qui exercent une activité professionnelle. Depuis plusieurs mois, les « fermetures exceptionnelles » se multiplient, faute de personnel.
Je suis très attaché à l’empreinte territoriale du service postal. L’égalité d’accès aux services publics est un enjeu important, à la fois sur leur présence physique et sur la qualité du service rendu.
J’ai donc écrit aux responsables départemental et régional de La Poste pour obtenir des explications et que l’on m’assure que la pérennité du bureau de poste n’est pas remise en cause.
De nombreux habitants, de Quingey et des communes alentour, se rendent régulièrement dans ce bureau. Une activité à la hauteur des besoins doit être assurée sur la commune, pour ne pas exclure des habitants de ce service essentiel.
Je sais la Maire de Quingey mobilisée sur ce dossier. Je m’attelle également à ce que des solutions adaptées soient trouvées. J’aurai à nouveau l’occasion d’en échanger prochainement avec la responsable régionale.
L’emploi des seniors est au cœur de cette réforme des retraites. Nous devons aller plus loin que la simple publication d’un index seniors dans les entreprises.
En France, seuls 33% des 60 à 63 ans sont en emploi en France, c’est 45% dans l’Union européenne et c’est 70% en suède.
Convaincu que nous ne pouvons nous satisfaire de ces chiffres, j’ai souhaité proposer un dispositif d’incitation à l’embauche et au maintien des seniors en entreprise.
Cette proposition vise à valoriser les entreprises vertueuses et inciter les autres à s’engager dans une démarche positive d’emploi des seniors.
Seuls les députés démocrates ont voté cette proposition qui visait pourtant à rendre effective une mesure de justice sociale.
Quels sont les risques d’une telle proposition ? Aucun, si ce n’est avoir de l’ambition sur la question de l’emploi de nos seniors.
Je défendrai à nouveau cette proposition dans l’hémicycle.