L’idéologie de la décroissance, portée par les écologistes, est dangereuse pour l’emploi et le développement des territoires
À Besançon, comme dans tant d’autres villes administrées par des majorités écologistes, le bilan économique est catastrophique.
L’idéologie de la décroissance freine le développement économique, la création d’emplois, la réindustrialisation et la reconquête de la souveraineté nationale de la France.
À Besançon, depuis l’arrivée de la majorité écologiste en 2020, pas 1 seul m2 de zone d’activité économique n’a été créé pour installer des entreprises ou des artisans et les contraintes se multiplient pour les entreprises. En 5 ans, c’est du jamais vu !
Cette tendance se retrouve à l’échelle nationale. Lors de son audition en commission d’enquête sur « les freins à la réindustrialisation de la France » à l’Assemblée nationale, le directeur général de Safran a expliqué bannir désormais les villes dirigées par des majorités écologistes pour implanter de nouveaux sites industriels, échaudé par l’expérience d’un projet à Rennes.
Safran a choisi Rennes pour y construire une nouvelle usine de 10.000 mètres carrés, consacrée à la fabrication des aubages de turbines des moteurs du Rafale et de ceux des Airbus A320 et des Boeing 737. Un investissement de 80 millions d’euros qui cochait toutes les cases : high-tech, souveraineté, création d’emplois et reconversion d’une ancienne friche industrielle.
« Nous avions préparé un beau dossier, avec 500 créations d’emplois et zéro artificialisation des sols, Mais dès l’annonce du projet, nous avons été critiqués par les écologistes sur le thème : c’est l’aéronautique, c’est l’avion, ils vont polluer. Et puis c’est le militaire, ce n’est pas bien. (…)
Ce n’est pas politique, mais à partir du moment où on oublie l’intérêt national, où on ne comprend pas que créer 500 emplois dans un endroit, c’est très important pour le territoire et pour la vie des gens, ça n’est pas la peine. »
A Besançon, en 5 ans, l’équipe Vignot a affaibli le rayonnement et l’attractivité de notre belle ville. L’alliance recherchée avec l’extrême gauche est très inquiétante pour l’avenir.
L’alternance politique devient vitale pour Besançon lors des prochaines élections municipales.