Tolérance zéro face à la fraude aux dépenses sociales
Nous devons agir avec la plus grande fermeté face à la fraude sociale ou la fraude fiscale.
Frauder la sécurité sociale, c’est trahir la solidarité nationale, c’est détourner de l’argent consacré aux malades ou aux hôpitaux, c’est voler les Français.
Pour que la lutte contre la fraude soit dissuasive, elle doit coûter plus cher à ceux qui la commettent qu’à ceux qui en sont victimes. Celui qui a tenté de duper la sécurité sociale doit en assumer les conséquences.
C’est la position que j’ai soutenue lors de l’examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale.
Je refuse la hausse d’impôts pour les retraités de la classe moyenne
J’ai voté la suppression de l’article 6 du projet de loi de finances qui prévoyait de remplacer l’abattement fiscal de 10% appliqué aux pensions de retraite par un abattement forfaitaire de 2000€.
Cela signifiait une hausse d’impôts pour tous les retraités dont la pension dépassait 20 000€ annuels soit 1667€ mensuels. Personne ne saurait qualifier ces retraités d’aisés, encore moins de privilégiés.
Il s’agit d’hommes et de femmes retraités de la classe moyenne, de millions de Français qui ont travaillé toute leur vie avec des salaires modestes à intermédiaires.
On ne réduira pas la dette publique en alourdissant la fiscalité qui pèse sur la classe moyenne, mais en favorisant le travail, la croissance et la productivité de nos entreprises, seules garantes de la création de richesse, de la maîtrise de la dépense publique et du maintien du pouvoir d’achat.
Face à la menace islamiste, la France ne pliera pas
Le soir du 13 novembre 2015, la France affrontait le terrorisme islamiste dans toute son horreur.
130 vies fauchées, des centaines de blessés, des familles brisées, une nation bouleversée.
Je rends Hommage à la mémoire des victimes et à leur famille. J’exprime ma reconnaissance aux policiers, aux unités d’interventions, aux sapeurs-pompiers, aux soignants qui ont fait face à l’horreur avec courage et sang-froid. Dix ans plus tard, notre émotion reste intacte.
Pour autant, le péril islamiste est encore présent. Nous avons un devoir de détermination et de vigilance absolues face à l’entrisme islamiste, face à cette idéologie mortifère. Ne baissons jamais la garde.
Ne jamais céder, ne jamais reculer, ne jamais oublier.
Libération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal
Soulagement à l’annonce de la libération de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal.
Depuis près d’un an, l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal, âgé de 80 ans et atteint d’un cancer, était détenu arbitrairement en Algérie pour des propos critiques envers le régime autoritaire algérien.
A travers lui, ce sont les valeurs universelles françaises, dont la liberté d’expression, qui étaient retenues prisonnières.
Cette libération est le fruit d’un long travail diplomatique de la France et de l’Allemagne.
N’oublions pas que le journaliste français Christophe Gleizes est toujours détenu par le régime algérien. La France doit continuer à se mobiliser pour sa liberté.
L’école a besoin de stabilité et de vision de long terme
Lors de l’audition d’Édouard Geffray, ministre de l’Éducation nationale, j’ai présenté les priorités du groupe Démocrate concernant les crédits de la mission « Enseignement scolaire » du Projet de loi de Finances pour 2026.
Dans un contexte budgétaire contraint, le budget 2026 de l’Éducation nationale demeure le premier budget de la Nation avec 64,5 milliards d’euros, en hausse de 200 millions d’euros.
J’identifie trois défis majeurs pour l’École de la République :
- Élever le niveau des élèves,
- Restaurer l’attractivité du métier d’enseignant,
- Transformer la baisse démographique en opportunité pour l’école.
L’urgence d’élever le niveau des élèves
Élever le niveau des élèves français, partout sur le territoire, est un impératif. Si nous voulons bâtir une école bienveillante, nous la devons exigeante.
Ainsi, les savoirs fondamentaux, la culture générale, l’esprit critique, la laïcité doivent figurer parmi les priorités de l’école.
Revaloriser et former les enseignants
Pour élever le niveau, nous avons besoin d’enseignants bien formés, mieux considérés, par l’institution comme par la société, et rémunérés à la hauteur de la mission qui est la leur.
Dès 2022, j’appelais à un plan pluriannuel de revalorisation des enseignants et au retour du concours de recrutement des professeurs à bac+3 suivi de deux années de stages rémunérées. Devenir professeur ne s’apprend pas dans un amphithéâtre, mais au contact des élèves et des professeurs expérimentés.
Saisir l’opportunité démographique
La baisse de la démographie est une réalité. Les établissements scolaires accueilleront 1 million d’élèves en moins entre 2017 et 2029. Saisissons l’occasion d’en faire une opportunité pour baisser les effectifs des classes, améliorer les conditions d’apprentissage des élèves et les conditions d’enseignement des professeurs.
Si j’ai salué la décision du gouvernement de ne pas aligner mécaniquement les suppressions de postes d’enseignants sur la baisse démographique, j’ai alerté le ministre sur les fortes disparités persistantes. 30 élèves par classe en maternelle, c’est la réalité dans certaines classes de ma circonscription. Ce n’est pas acceptable. Aucune classe en France ne devrait dépasser 23 ou 24 élèves de la maternelle au collège.
Un besoin de stabilité et d’une vision de long terme
J’appelle à la stabilité et à inscrire les politiques éducatives dans une vision de long terme. Depuis 2017, les réformes se sont succédé et les priorités se sont multipliées. L’École a désormais besoin de stabilité et de sérénité.
Cérémonies du 11 novembre
Il y a 107 ans, le 11 novembre 1918, dans la clairière de Rethondes, le Maréchal Foch signait l’Armistice, mettant ainsi fin au premier conflit mondial de l’histoire. Cette guerre totale, d’une ampleur inédite, coûta la vie à plus de 18 millions d’hommes et de femmes.
La France, meurtrie mais debout, perdit 1,4 million de ses enfants. 1,4 million de soldats tombés au champ d’honneur et autant de familles brisées.
Nous leur devons tant. N’oublions jamais.
Montferrand-le-Château
Grandfontaine
Besançon
Stop à la démagogie du “tout gratuit” !
À l’heure où la France fait face à des défis budgétaires majeurs, les députés de gauche et d’extrême gauche persistent à promettre la gratuité à tout-va !
Mais qui paiera l’addition de ces promesses démagogiques ? Toujours les mêmes : les Français qui travaillent.
La gratuité décrétée n’annule pas les coûts. Elle les dissimule, elle les reporte sur les contribuables, sur les collectivités, sur les entreprises, sur la vitalité économique ou sur d’autres priorités essentielles. À force de promettre tout à tous, on finit par ne plus pouvoir rien garantir à personne.
La vraie justice sociale ne réside pas dans le « le tout gratuit » au détriment de la qualité du service public et des équilibres budgétaires. Elle consiste à soutenir et accompagner ceux qui en ont réellement besoin, tout en rappelant qu’à chacun de nos droits correspondent aussi des devoirs.
Si ces illusionnistes de la dépense éternellement financée par les autres accédaient un jour au pouvoir, ils expliqueraient sans nul doute leur incapacité à tenir leurs promesses… mais en rejetant la faute sur les autres. Pratique non ?
Le populisme détruit la crédibilité du discours politique. Il mine la confiance des Français. Certes, dire la vérité, c’est prendre le risque de l’impopularité, c’est cependant l’assurance de la responsabilité.
Inauguration de l’entrée de village de Pelousey
J’ai eu le plaisir d’assister à l’inauguration de l’entrée de village de Pelousey.
Chaque euro investi dans ces aménagements améliore le quotidien des habitants : élargissement et éclairage des trottoirs, installation de chicanes et de plateaux surélevés pour apaiser la circulation, reprise des enrobés, accessibilité de l’arrêt de bus du Vallon du Bouvreuil aux personnes à mobilité réduite, amélioration de la gestion des eaux pluviales.
Ces aménagements illustrent la volonté de la commune d’offrir un cadre plus sûr, plus confortable et plus agréable à tous.
Je salue également le travail des entreprises ainsi que le soutien du Département du Doubs et de Grand Besançon Métropole.
Félicitations à Catherine Barthelet et à son équipe municipale pour cette belle réalisation.
Bienvenue à l’Assemblée nationale aux élus de la commune de Chemaudin-et-Vaux
J’ai profité de quelques heures de suspension des débats budgétaires pour faire visiter l’Assemblée nationale et partager le fonctionnement de l’institution aux élus de Chemaudin-et-Vaux.
Je remercie Monsieur le Maire, Gilbert Gavignet, et l’ensemble des participants pour leur intérêt.
Faites un don pour financer un implant sur-mesure à des enfants porteurs de fentes faciales
Je tiens à vous sensibiliser sur la collecte de fonds destinée à donner accès à des enfants à des dispositifs médicaux sur mesure très couteux.
Cette campagne de financement soutient la fabrication de ces dispositifs par la start-up bisontine Ennoïa, en partenariat avec l’Association pour les porteurs de fentes faciales et leurs parents (APFFP) et le Professeur Picard de l’hôpital Necker–Enfants Malades.
Chaque année, près d’une cinquantaine d’enfants naissent en France avec des fentes faciales, une anomalie qui affecte la croissance du visage et complique l’alimentation, la parole ou la respiration.
Pour ces enfants, un dispositif médical sur-mesure est indispensable à leur reconstruction. Mais son coût, 6 000 euros, reste un obstacle pour de nombreuses familles.
L’objectif de cette collecte est de financer ces implants pour une cinquantaine d’enfants chaque année, afin de leur offrir la prise en charge la plus adaptée et de leur redonner sourire et confiance.
Chaque euro, chaque partage compte.
Merci pour votre solidarité et votre générosité pour cette cause humaine.Rendez-vous sur Ulule pour découvrir le projet et soutenir la collecte : https://fr.ulule.com/collecte-ennoia-apffp/
Je remercie chaleureusement Mathieu Farrero pour l’ensemble du travail accompli au sein de mon équipe
Mathieu m’a accompagné, depuis 2020, d’abord comme collaborateur d’élus à la mairie de Besançon puis ensuite comme collaborateur parlementaire avec professionnalisme, disponibilité et rigueur.
Merci Mathieu pour toutes ces années de confiance et d’engagement.
Je te souhaite le meilleur pour la suite de ton parcours.
Le 6 décembre, soutenons Jade Cholley à l’élection Miss France 2026
Nous étions nombreux à Roset-Fluans pour entourer Jade Cholley, Miss Franche-Comté 2025, lors de sa soirée de départ pour le concours Miss France 2026.
Jeune femme de Saint-Vit de 19 ans, étudiante passionnée, Jade s’apprête à représenter fièrement nos couleurs franc-comtoises sur la scène du Zénith d’Amiens le 6 décembre prochain, devant des millions de téléspectateurs.
Un engagement qui va bien au-delà du concours : Jade a choisi de soutenir la Ligue contre le Cancer, en particulier la lutte contre le cancer du sein. Une cause profonde qui la touche et qu’elle portera fièrement pendant cette aventure.
Souhaitons à Jade Cholley toute la réussite qu’elle mérite. Mobilisons-nous pour la soutenir.
Allez Jade, la Franche-Comté est derrière toi !
Cécile Kohler et Jacques Paris enfin libres !
Après la libération du jeune Bisontin Lennart Monterlos le 8 octobre dernier, nous apprenons avec un immense soulagement celle de Cécile Kohler et de Jacques Paris, détenus en Iran depuis mai 2022.
Cécile Kohler, enseignante agrégée de lettres modernes, et son compagnon, Jacques Paris, professeur de mathématiques, avaient été arrêtés au dernier jour d’un voyage touristique. Ils avaient ensuite été accusés, sans fondement, d’espionnage, de complot et de corruption. Ils se trouvent désormais en sécurité à la résidence de France à Téhéran, en attente de leur retour définitif en France après plus de 1 200 jours de détention arbitraire.
Je rends hommage au travail exceptionnel des agents de l’Ambassade et du ministère des Affaires étrangères qui ont une nouvelle fois fait honneur à leur mission de protection des Français dans le monde.
Réussite des étudiants en premier cycle universitaire
Audition du ministre de l’Enseignement supérieur sur la réussite des étudiants en premier cycle universitaire
Seul un étudiant sur trois obtient sa licence en trois ans. Moins d’un sur deux la réussit en 4 ans.
En première année universitaire :
- 1 étudiant sur 2 obtient son année et passe en 2è année
- 1 étudiant sur 4 redouble
- 1 étudiant sur 4 se réoriente ou abandonne ses études supérieures
L’échec à l’université a un coût humain et financier considérable, pour les jeunes, pour leurs familles, pour les universités, pour l’État et pour l’avenir de notre pays.
La réalité est bien différente dans les IUT où l’orientation est davantage le résultat d’un choix réfléchi des étudiants. Dans ces instituts universitaires, l’encadrement et le suivi pédagogique permettent de porter le taux de réussite à 76%.
Cela démontre la nécessité de mieux orienter et accompagner les étudiants à l’université.
Retour dans l’hémicycle pour la 3ème semaine d’examen du Projet de loi de Finances 2026
Après plus de deux semaines de débats intenses, de nuits courtes et plus de 35 heures de présence en séance ou en commission, le travail parlementaire se poursuit ce lundi.
L’objectif reste le même : construire un budget responsable, qui maîtrise la dépense publique, demande à chacun un effort juste et proportionné, soutient la croissance, l’investissement et la création de richesse, afin de réduire la dette et de préserver notre modèle social sans céder à la tentation de la surenchère fiscale.
Besançon fête ses 50 ans de jumelage avec Neuchâtel
Nous célébrons le cinquantenaire du jumelage entre Besançon et Neuchâtel, une occasion unique de relancer et renforcer nos partenariats avec la Suisse.
Les enjeux de coopération sont nombreux : économiques, universitaires, médicaux, sanitaires, scientifiques, culturels, sportifs…
Plus concrètement pour Besançon et dans le Doubs : savoir-faire horloger, industrie, sport, liaisons ferroviaires, liaisons routières et aménagement de la RN57, problématiques de la bande frontalière avec le départ de professionnels de santé français vers la Suisse, coût du chômage, coordination pour la préservation des cours d’eau.
En tant que membre du groupe d’amitié France-Suisse à l’Assemblée nationale, j’appelle au renforcement des relations entre nos deux pays sur les sujets transfrontaliers.
Il est dans l’intérêt de la France comme de la Suisse, des Bisontins comme des Neuchâtelois, de construire des relations équilibrées, dans un objectif « gagnant-gagnant ». Approfondissons encore les liens qui nous unissent et font de notre relation un véritable modèle de coopération et de solidarité franco-suisse.


















