« Le Gouvernement me confirme le maintien des financements pour la sauvegarde des bureaux de La Poste en ruralité « 

J’ai été très inquiet à l’annonce d’un possible gel de 50 millions d’euros alloués au contrat de présence territoriale de La Poste.

Cette baisse de dotation aurait pu amener à la fermeture d’agences postales communales.

La responsabilité budgétaire ne peut s’opérer aux dépens du maintien des services publics dans les territoires ruraux.

Je suis très attaché à l’égalité d’accès aux services publics, à leur présence au plus près de nos concitoyens, particulièrement dans les territoires ruraux comme à Quingey où je suis mobilisé avec les maires du secteur pour le maintien d’un service de qualité du bureau de poste.

La Poste occupe une place à part dans le cœur des Français. Elle incarne un service public de proximité, utile au quotidien.

Aussi, j’ai interrogé le gouvernement afin de qu’il s’engage à ce que les crédits alloués à la présence territoriale de La Poste soient maintenus.

Le ministre de l’Économie Antoine Armand s’est engagé devant la représentation nationale à maintenir la participation financière que l’État accorde à La Poste pour sa mission de distribution du courrier et de service universel postal.

Lorsqu’un de nos villages perd un service public, lorsqu’il perd son bureau de poste, lorsqu’il perd son école, on porte atteinte à sa vitalité et on crée des inégalités territoriales. Il était dont primordial que l’État se positionne clairement.

Face à l’enjeu d’évolution des usages et de concurrence accrue auquel fait face La Poste, notamment à la baisse drastique du volume de courriers distribué, l’État doit être aux côtés de La Poste et accompagner cette entreprise chère aux Français.

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