Hier, en marge de la traditionnelle manifestation du 1er mai qui s’est déroulée dans de bonnes conditions, 200 casseurs s’en sont pris violemment à nos policiers au centre-ville de Besançon.
Ces violences, nourries par les discours pyromanes et irresponsables de l’extrême-gauche, visent à défier l’autorité de l’État, saccager l’espace public, les commerces mais aussi à « casser du flic ».
Sept de nos policiers bisontins ont été blessés, dont un hospitalisé.
J’apporte tout mon soutien à l’ensemble des forces de l’ordre, policiers nationaux et municipaux de Besançon, aux pompiers qui ont dû intervenir sur des départs de feux.
Chaque jour, ils œuvrent courageusement pour assurer notre sécurité et notre tranquillité publique.
La République ne sera jamais la loi du plus violent. La violence de ces individus doit être condamnée sans réserve, ni ambiguïté.