« Ce n’est pas à un étudiant de payer la défaillance de l’organisation de son examen. J’ai saisi la ministre de l’Éducation nationale et le Premier ministre !»

Tom, étudiant à Besançon, n’a pu se rendre aux épreuves écrites de son examen de BTS, en raison d’une hospitalisation survenue le matin de ses épreuves. Il apprend qu’il n’est pas prévu de session de remplacement et qu’il devra refaire sa seconde année de BTS.

Il m’est inconcevable qu’un étudiant perde une année scolaire, parce que l’administration n’a pas été à la hauteur. Tom, lui, en obtenant des notes satisfaisantes tout au long de son année scolaire, un avis favorable de son conseil de classe et une admission en licence l’a été.

Un accident de voiture, une mauvaise chute, une hospitalisation ou une panne de transport sont des situations exceptionnelles mais elles peuvent arriver, y compris, au moment du passage d’un examen.

Comment l’administration, peut-elle justifier de ne pas anticiper des sessions de remplacement pour certains examens ?

C’est une injustice que je n’accepte pas. Aussi, j’ai saisi la ministre de l’Éducation nationale et le Premier ministre afin qu’une solution soit proposée et que ce type d’événement ne se reproduise plus.

Soutien à Tom et à sa famille.

One Response to “ « Ce n’est pas à un étudiant de payer la défaillance de l’organisation de son examen. J’ai saisi la ministre de l’Éducation nationale et le Premier ministre !» ”

  1. Nul n’est à l’abri d’un accident, d’une maladie déclarée au dernier moment, ces derniers ne lui permettant pas de se présenter à un examen ; il est donc absolument utile de prévoir une session de remplacement.

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