2024
avril
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« Le budget 2024 de la ville de Besançon est celui du toujours plus de contraintes »

La majorité écologiste NUPES de Besançon annonce un budget 2024 à hauteur de 218 millions d’€, dont 45 millions d’euros d’investissements, et dévoile dans le même temps que 27 millions d’€ d’investissements n’auront pas été réalisés en 2023 !

Cette majorité fait le contraire de ce qu’elle dit et dit le contraire de ce qu’elle fait. 

Est-ce que cette municipalité facilite véritablement la vie quotidienne des Bisontines et des Bisontins lorsqu’elle supprime plusieurs centaines de places de stationnement, lorsqu’elle annonce rendre payant le stationnement du personnel de l’hôpital, des étudiants en médecine ou en soins infirmiers aux Hauts-du-Chazal ?

Sans compter le manque de transparence dans les projets. 5 millions d’euros de projets de voirie votés en conseil communautaire sans que les Bisontins et les élus d’opposition soient informés de leur contenu. Inadmissible !

Des voies de circulation sont supprimées, des rues placées un jour dans un sens, puis dans l’autre quelques jours après. Le dogme anti-voiture coûte très cher aux impôts des Bisontins !

Est-ce que cette municipalité favorise le dynamisme et la vitalité de Besançon lorsqu’elle éteint la Citadelle, emblème de notre ville, lorsqu’elle ralentit le développement de nouvelles zones d’activité économique, ou lorsqu’elle s’oppose à l’aménagement routier de la RN57 entre Micropolis et Beure ?

Nous avons la chance de vivre dans une ville magnifique, au patrimoine et à l’histoire exceptionnels. Elle mérite une autre vision, un autre projet, elle mérité de l’ambition. 

Depuis 4 ans, Besançon est devenue le terrain de jeu d’une idéologie écologiste punitive, décroissante et moralisatrice.

Le groupe des élus « Ensemble Bisontins ! » ne s’associe évidemment pas à ce budget, à ces méthodes qui placent les citoyens au service de leur ville alors que le bon ordre des choses voudrait que la ville soit le facilitateur de leur quotidien et de leurs initiatives.

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« Nous devons mener une stratégie de harcèlement contre les dealers »

À Besançon, tout le monde ne déteste pas la police. 

Avec mes collègues élus du groupe Ensemble Bisontins ! nous saluons l’action de la police nationale et de la police municipale qui effectuent un travail exceptionnel au service de la sécurité des Français.

Il y a peu de métiers où porter un uniforme représente un danger mortel. C’est le quotidien des policiers ; la police est un pilier de la République, sans police la rue serait la loi du plus fort.

Parmi les enjeux de sécurité, il y a bien sûr la lutte contre le trafic de drogues.

Je suis personnellement opposé à la légalisation du cannabis pour des questions de santé publique. Quand on connaît les ravages de la consommation de cannabis, en particulier chez les plus jeunes, on ne peut décemment pas le défendre. 

C’est pourquoi je refuse l’expression de « cannabis récréatif ». Ça n’existe pas.

Les trafiquants vendent de la mort, de la mort pour les consommateurs et de la mort pour la jeunesse des quartiers. Les consommateurs doivent avoir conscience de cette réalité et intégrer qu’en achetant de la drogue, ils ont du sang sur les mains.

Il y a à mon sens, deux grands enjeux dans la lutte contre le trafique de drogues.

Les dealers de drogues ne doivent pas avoir le sentiment qu’ils peuvent vendre leurs substances sans craindre de danger. Nous devons mener une stratégie de harcèlement acharnée de la police nationale et de la police municipale en leur direction.

Ensuite, nous devons également permettre aux citoyens et aux associations de se réapproprier l’espace public qui leur appartient. 

Il n’y a que comme cela que nous parviendrons à mettre un terme aux points de deal, comme à Planoise.

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La réponse implacable du directeur de la police nationale à un adjoint NUPES de Besançon

« Je regrette que vous soyez présent en arme dans une assemblée républicaine »

Ces propos d’un adjoint de la maire de Besançon au directeur de la Police nationale révèlent le peu de respect et la défiance qu’ont ces élus NUPES à l’égard de la Police qui assure chaque jour la sécurité des Français.

Je veux redire mon soutien à nos forces de l’ordre qui font un travail exceptionnel.

La réponse de M. Cellier est implacable : « Je suis un policier de la République et je suis armé par la République. Et comme je suis policier, je porte mon arme. En 2002, au conseil municipal de Nanterre, un individu a tué 8 conseillers municipaux et blessé 19. Peut-être que s’il y avait eu un policier armé, ça ne serait pas arrivé. ».

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