« Il y a un grave problème de gouvernance et un grave déficit de dialogue social au sein de la ville de Besançon »

Ce n’est pas faute d’interpeller sur le malaise qui couve au sein des services de la ville de Besançon.

Quelle est la demande des policiers municipaux par exemple ?
Que les élus fassent leur travail, c’est à dire, donnent des consignes.

Après 18 mois, pas de projet de service, pas de consignes, pas de missions clairement définies, pas de réactions devant les départs de policiers vers d’autres villes plus attractives, pas de réflexion sur les horaires, les salaires ou les effectifs.

D’une manière générale ça en dit long sur les méthodes ou plutôt l’absence de méthode qui caractérise les villes gérées par les écologistes politiques.

Il y a un grave problème de gouvernance, un grave déficit de dialogue et de dialogue social au sein de la ville de Besançon.

Les syndicats ont posé la bonne question: Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Je ne sais toujours pas définir où cette majorité entend emmener Besançon, quel est le cap. Le sait-elle elle même ?

Madame Vignot et son équipe ont toujours autant de difficultés à faire, à prioriser, à distinguer l’essentiel de l’accessoire, à oeuvrer sans idéologie pour l’ensemble des Bisontins.

Oui, c’est relativement inquiétant pour l’avenir. Gérer une ville comme Besançon, ne s’improvise pas.

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