2024
avril
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« Nous dénonçons le refus, par la Maire de Besançon, de la proposition de l’État de financer 70% de l’installation de nouvelles caméras de vidéoprotection »

La tribune des élus de notre groupe Ensemble Bisontins ! dans le magazine municipal de Besançon (BVV) d’avril/mai 2024 :

« Depuis 4 ans, Mme Vignot ne se préoccupe pas de la sécurité des Bisontins, se contentant d’appeler l’État au secours. C’est un des plus gros échecs de son (in)action et sans doute le plus choquant car les premières victimes sont les habitants les plus fragiles.

Nous nous engagés pour la création d’un 2nd commissariat à Besançon. Nous nous réjouissons de l’annonce du Ministre de l’Intérieur qui s’est également dit prêt à financer 70% de l’installation de 50 nouvelles caméras lui a répondu Mme Vignot, alors que nous répétons, comme M. le Préfet, M. le Procureur de la République et la police nationale, qu’elles contribuent à résoudre les affaires et à identifier les auteurs.

Avec 90 policiers supplémentaires et la force d’action républicaine, l’État est au rendez-vous des sujets de sécurité et de prévention à Besançon.

Nous sommes consternés face à cette posture idéologique qui refuse des moyens supplémentaires destinés à lutter contre la délinquance, les violences et les trafics.

Nous élus Renaissance, MoDem, Horizons, sommes aux côtés des habitants et ces derniers souhaitent plus de sécurité. »

Tribune Bvv Avrilmai 24
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« Nous devons mener une stratégie de harcèlement contre les dealers »

À Besançon, tout le monde ne déteste pas la police. 

Avec mes collègues élus du groupe Ensemble Bisontins ! nous saluons l’action de la police nationale et de la police municipale qui effectuent un travail exceptionnel au service de la sécurité des Français.

Il y a peu de métiers où porter un uniforme représente un danger mortel. C’est le quotidien des policiers ; la police est un pilier de la République, sans police la rue serait la loi du plus fort.

Parmi les enjeux de sécurité, il y a bien sûr la lutte contre le trafic de drogues.

Je suis personnellement opposé à la légalisation du cannabis pour des questions de santé publique. Quand on connaît les ravages de la consommation de cannabis, en particulier chez les plus jeunes, on ne peut décemment pas le défendre. 

C’est pourquoi je refuse l’expression de « cannabis récréatif ». Ça n’existe pas.

Les trafiquants vendent de la mort, de la mort pour les consommateurs et de la mort pour la jeunesse des quartiers. Les consommateurs doivent avoir conscience de cette réalité et intégrer qu’en achetant de la drogue, ils ont du sang sur les mains.

Il y a à mon sens, deux grands enjeux dans la lutte contre le trafique de drogues.

Les dealers de drogues ne doivent pas avoir le sentiment qu’ils peuvent vendre leurs substances sans craindre de danger. Nous devons mener une stratégie de harcèlement acharnée de la police nationale et de la police municipale en leur direction.

Ensuite, nous devons également permettre aux citoyens et aux associations de se réapproprier l’espace public qui leur appartient. 

Il n’y a que comme cela que nous parviendrons à mettre un terme aux points de deal, comme à Planoise.

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La réponse implacable du directeur de la police nationale à un adjoint NUPES de Besançon

« Je regrette que vous soyez présent en arme dans une assemblée républicaine »

Ces propos d’un adjoint de la maire de Besançon au directeur de la Police nationale révèlent le peu de respect et la défiance qu’ont ces élus NUPES à l’égard de la Police qui assure chaque jour la sécurité des Français.

Je veux redire mon soutien à nos forces de l’ordre qui font un travail exceptionnel.

La réponse de M. Cellier est implacable : « Je suis un policier de la République et je suis armé par la République. Et comme je suis policier, je porte mon arme. En 2002, au conseil municipal de Nanterre, un individu a tué 8 conseillers municipaux et blessé 19. Peut-être que s’il y avait eu un policier armé, ça ne serait pas arrivé. ».

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